« Chaque fois que nous expédions un jeu sur PlayStation [ndlr : bon, surtout Minecraft et le suivi de TES Online], Sony prend 30 % des revenus que nous réalisons sur leurs supports, puis ils utilisent cet argent parmi d’autres revenus pour tenter de réduire la survie de Xbox sur le marché. »
En ligne de mire, les nombreuses exclusivités signées par Sony au détriment des supports Xbox, encore tout juste récemment Final Fantasy XVI, et l’occasion était toute trouvée pour Spencer d’évoquer le cas Bethesda sur lequel le constructeur PlayStation s’est soudainement attardé avant le début de la génération, conduisant Microsoft à dégainer le chéquier pour mettre fin à une tentative… d’exclusivité PS5 pour Starfield (même temporaire).
« Lorsque nous avons acquis Zenimax, l’une des raisons était que Sony avait commencé par conclure des accords pour Deathloop et Ghostwire Tokyo afin qu’ils ne soient pas sur Xbox. Mais quand nous avons entendu que Starfield allait potentiellement sauter sur Xbox, nous ne pouvions plus être dans la position du troisième constructeur qui prend toujours plus de retard sur le contenu. Nous avons donc dû sécuriser les choses pour rester viable. »
Une tentative par Sony déjà évoquée par Imran Kahn (ex-rédacteur en chef de Game Informer) il y a un bon moment, pour finalement un retournement de situation avec un Starfield exclusif PC/Xbox, même chose pour Indiana Jones, et si Spencer ne veut pas se prononcer pour l’heure sur le futur poids lourd The Elder Scrolls VI, on va dire que l’on sait déjà à quoi s’attendre.