Depuis sa mise en ligne sur Netflix, Le jeu de la dame fait sensation auprès du public. La presse a-t-elle été conquise par cette mini-série portée par Anya Taylor-Joy ?
De quoi ça parle ?
En pleine Guerre froide, le parcours de huit à vingt-deux ans d’une jeune orpheline prodige des échecs, Beth Harmon. Tout en luttant contre une addiction, elle va tout mettre en place pour devenir la plus grande joueuse d’échecs du monde.
La mini-série est disponible en intégralité sur Netflix.
Ce qu’en pense la presse…
Selon le Time
« Aujourd’hui, les dramas d’une heure qui délaisse les licences, les mélodrames et les effets spéciaux coûteux au profit du réalisme psychologique représentent un changement bienvenu. Et il est très rare qu’ils soient aussi bon que Le jeu de la dame. » 5/5
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Selon Télérama
« Un drame solide et féministe qui réussit à glamouriser un jeu pas facile à porter à l’écran. Et passionnera même les profanes. » 4,5/5
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Selon le Wall Street Journal
« Mademoiselle Taylor-Joy est vraiment le début et la fin du Jeu de la dame, et livre une performance aussi précise physiquement qu’émotionnellement. » 4,5/5
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Selon RogerEbert.com
« Il y a d’un côté le sport, un jeu ou une compétition dans laquelle les spectateurs s’investissent indéniablement, et de l’autre le joueur ou les joueurs, dont la vie est plus grande que le jeu, mais qui se font consumer par le jeu. Le jeu de la dame explore les deux, et tous les deux sont des courses. Franck, Taylor-Joy et les autres ne s’arrêtent jamais de raconter ces deux histoires en une, et le résultat est un portrait fascinant d’une jeune femme luttant pour devenir celle qu’elle veut devenir, combattant pour la victoire et pour la paix. » 4/5
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Selon Ecran Large
« Alors que l’échiquier devient le théâtre d’une guerre psychologique, la mini-série apporte de la tension, de la douceur, de l’humour ou de la frénésie, en séparant l’écran ou en se focalisant sur les pièces, l’horloge ou les visages, mais surtout en captant le regard d’Anya Taylor-Joy. » 3,5/5
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Selon Collider
« Le fait que la série repose sur une narration répétée encore et encore, son besoin de rester dans les clous sans surprise, son aisance pour les moments vides sans aucun but prouvent peut-être que certaines stratégies d’échecs ont plus d’effets lorsqu’elles sont dramatisées plutôt que de n’être qu’un style de réalisation. » 2,5/5
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