Bien avant l’internet, les scientifiques ont étudié la dynamique de l’information et déterminé que la façon dont la désinformation se propage est étonnamment comparable à une maladie virale. Même si une information est fausse, elle peut prendre une vie propre et devenir un « fait » si elle atteint une partie suffisamment importante de la population assez rapidement.
Chacun d’entre nous a le potentiel de devenir involontairement un propagateur d’informations erronées. Nous pouvons propager le virus de la désinformation en voyant un mème qui valide nos opinions, puis en le repostant ou en le racontant aux gens en face à face sans vérifier les faits. Aux États-Unis, une fausse équivalence s’est développée entre la liberté d’expression et le droit d’exprimer une opinion, sans reconnaître que nous avons tous la responsabilité éthique de vérifier les documents et de nous informer pleinement avant de promouvoir un point de vue.
Si une source d’information digne de confiance a la responsabilité de fournir des faits sans parti pris et de s’appuyer sur des sources fiables, cela n’exonère pas les consommateurs de médias de leur responsabilité. En tant que lecteur, il vous incombe également de vérifier les faits que vous lisez. Consultez ce site : gabjo.fr
L’émergence d’une société de l’information nécessite un accès à l’internet avec une bande passante appropriée. Dans de nombreux pays, le manque d’accès à la large bande empêche une utilisation extensive de l’internet dans l’éducation et d’autres secteurs de la vie. La connectivité à large bande nécessite un environnement juridique et réglementaire qui encourage l’investissement et l’innovation. Ce n’est pas seulement une question de connectivité. L’accès doit être peu coûteux pour les écoles et les particuliers, et les instructeurs et les étudiants doivent acquérir une culture numérique et d’autres compétences pour en tirer le meilleur parti. Il faut également que ces enseignants et ces élèves trouvent et utilisent des contenus adaptés au niveau local.
La possibilité de se connecter à l’internet est essentielle pour concrétiser cette vision de l’avenir. Elle a le potentiel d’améliorer la qualité de l’enseignement de diverses manières. Il permet d’accéder à une multitude d’informations, de connaissances et de ressources éducatives, élargissant ainsi les possibilités d’apprentissage à l’intérieur et à l’extérieur de la classe. Les enseignants utilisent les ressources en ligne pour planifier leurs cours, et les élèves les utilisent pour élargir leurs horizons. Les enseignants peuvent accorder plus d’attention aux besoins individuels des élèves et améliorer l’apprentissage partagé en utilisant des méthodes d’enseignement interactives, rendues possibles par l’internet. Cela peut contribuer à corriger les inégalités en matière d’éducation auxquelles sont confrontées les filles et les femmes. Les administrateurs de l’éducation peuvent utiliser l’internet pour réduire les dépenses et améliorer la qualité de leurs écoles et universités.
Jusqu’à récemment, l’internet n’était accessible que par le biais d’ordinateurs, qui étaient hors de portée de la majorité des gens dans la plupart des pays. L’accès aux téléphones mobiles qui peuvent être utilisés pour accéder à l’internet, en revanche, a joué un rôle essentiel dans la diffusion de l’accès à l’internet et la stimulation de la créativité. Les appareils mobiles représentent aujourd’hui la moitié de l’ensemble du trafic web, l’Afrique et l’Asie en représentant une proportion beaucoup plus importante.
Tout le monde peut publier des informations sur un site web, un blog ou un profil de média social et éventuellement toucher un large public grâce à l’internet et aux médias sociaux. De nombreux créateurs/éditeurs de contenu ont profité du fait qu’un grand nombre de personnes s’informent désormais sur les plateformes de réseaux sociaux.
Il n’est pas facile de repérer les fausses nouvelles. Même ceux qui sont conscients du mal que peuvent causer les fausses nouvelles peuvent ne pas savoir qu’ils lisent ou regardent de fausses nouvelles, à moins qu’un ami ou un média crédible ne le signale.
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