
L’Agence internationale de l’énergie affirme que l’absence d’investissements dans les énergies propres pourrait provoquer des «turbulences» sur le marché de l’énergie.
«La transition est trop lente» : le monde sera promis au réchauffement climatique mais aussi à des «turbulences» sur les marchés de l’énergie, s’il n’investit pas plus rapidement dans les énergies propres, a prévenu mercredi l’Agence internationale de l’énergie (AIE).
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À deux semaines de l’ouverture de la COP26 de l’ONU, l’agence lance, dans son rapport annuel, «de sérieux avertissements sur la direction que les politiques actuelles font prendre au monde».
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