L’essayiste a passé deux jours sur l’île de beauté pour promouvoir son livre, trouver soutiens et parrainages en vue de la présidentielle.
«Natios» contre nationalistes. Venu sur l’Île de beauté pour présenter et dédicacer son livre – comme pour rassembler soutiens et parrainages en vue de la présidentielle – Eric Zemmour a eu la surprise, ce week-end, d’être confronté à une opposition d’une nature jusque-là inconnue de lui. Celle d’indépendantistes et de nationalistes corses. Un comble pour l’essayiste qui se veut le dénominateur commun de tous les militants ayant pour première famille d’appartenance, la nation. Mais française. «Pour moi, juif d’Algérie, la nation c’est considérer que Napoléon est mon grand-père, que Jeanne d’Arc est mon aïeule. C’est une idée grandiose, une immense chaîne qui remonte le temps dont nous ne sommes que le modeste maillon. Pas un bout de papier donné au premier venu qui a coché les bonnes cases sur un formulaire», a-t-il lancé, ce samedi, devant 300 de ses fidèles rassemblés au bas de la vieille ville d’Ajaccio. Le message aura été différemment perçu sur place.
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