Donc déjà, pour commencer et même si l’on s’en doutait déjà, rien ne changera pour les titres en partenariat (donc Deathloop et Ghostwire Tokyo, exclusifs 1 an à la PS5 et au PC) et les jeux à service comme The Elder Scrolls Online et Fallout 76 continueront de recevoir le même contenu qu’ailleurs, et en même temps. Ça, c’est clair.
Et il y a donc tout le reste. C’est là qu’il faut savoir analyser les propos car Spencer évoque de possibles éléments contractuels qui pourront éventuellement sortir sur d’autres supports que PC/Xbox, et là, on ne peut s’empêcher de penser à un certain Indiana Jones (via MachineGames) dont le deal avec Disney impose peut-être une sortie sur le plus grand nombre de supports.
Mais derrière, ce même Spencer prévient : « l’objectif » principal du rachat (jusqu’à parler de « la racine de ce partenariat ») c’est bien de livrer de gros titres exclusifs pour le Game Pass… ou en tout cas pour toutes les plates-formes qui ont accueilli le service en question. Et là, ce n’est pas difficile, il n’y en a que trois : PC, Xbox et xCloud.