À la Philharmonie de Paris, le metal a le diable au corps


« En hurlant, nous allons déchirer ton cerveau », scandait en anglais Metallica dans Hit the Lights, tube de leur premier album Kill ’Em All sorti en 1983. S’il fallait un mot pour résumer le metal, genre musical qui a émergé à la fin des années 1960 à Birmingham, ce serait l’excès, en tout genre : sons, scénographies, tenues, attitudes provocantes…

Mais alors, que peuvent bien avoir en commun le groupe Black Sabbath, dont les riffs de guitare et les vociférations vrillent les tympans, et la douceur plastique de l’Éternelle idole de Rodin ? L’une a fait la couverture et a donné son nom à un album de l’autre. Lorsque l’on parle de metal, les références à l’histoire de l’art sont en fait légion.

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